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Michaël & Loïck, son témoignage

UQAR – Université du Québec à Rimouski

Le système scolaire canadien est très différent du système français. Là-bas, les étudiants doivent choisir eux-mêmes leurs cours avant chaque session, en collaboration avec l’administration.

De plus, certains cours ne sont accessibles qu’après avoir contacté les professeurs concernés, qui souhaitent généralement évaluer la motivation des étudiants.

Le système canadien accorde également beaucoup de temps libre aux étudiants pour qu’ils puissent travailler de manière autonome. En conséquence, le nombre de cours hebdomadaires est bien inférieur à celui du système français.

Les enseignants s’investissent énormément auprès des étudiants, proposant des cours dynamiques et engageants, créant ainsi une atmosphère conviviale et agréable pour tous.

Pour assurer le bon déroulement des études à l’UQAR, il est impératif de prendre contact avec les responsables de département le plus tôt possible afin de garantir une bonne prise en charge.

En effet, certains modules de cours nécessitent une préparation préalable avec les enseignants, comme le module de projet de développement technique, qui consiste en une session de travail en laboratoire encadrée par un professeur.

De plus, les cours proposés par l’UQAR sur leur site ne sont pas toujours disponibles en pratique, car leur offre dépend du nombre d’étudiants intéressés et de la disponibilité des enseignants.

Par exemple, à notre arrivée, le professeur responsable des cours liés aux énergies renouvelables venait de prendre sa retraite, nous obligeant à réviser notre contrat d’études.

Il est donc important de souligner que le contrat d’études évoluera probablement au fil des sessions.

Lors de notre séjour, nous avons réussi à faire reconnaître notre module de projet de développement technique d’une session comme un stage par l’EILCO.

Cette démarche nous a permis de gagner beaucoup de temps dans nos études, car l’UQAR recommandait de réaliser ce projet plutôt qu’un stage en entreprise.

L’UQAR dispose d’une résidence destinée aux étudiants, et une autre est actuellement en construction.

Chaque année, l’UQAR accueille bien plus d’étudiants que la ville ne peut offrir en termes de logements disponibles.  Le Canada fait face à une pénurie de logements depuis plusieurs années, ce qui rend la recherche d’un logement particulièrement difficile.

En ce qui concerne le transport, un système de minibus est en place, mais il est payant et peu efficace.  Lors de notre séjour au Canada, nous avons logé dans une petite résidence située à une heure en bus de l’université, dans une petite ville à proximité de Rimouski, et il était très contraignant de se déplacer efficacement, car le minibus ne passait que 3 à 4 fois par jour.

L’UQAR propose de nombreuses activités au sein de l’université et dispose de plusieurs espaces dédiés, tels qu’une salle de sport, un bar et un studio de radio.

De plus, plusieurs événements sont organisés chaque mois, offrant aux étudiants de nombreuses opportunités de socialisation et de divertissement.

Trouver un logement a été très difficile, même en optant pour une colocation.

Les transports en commun sont peu utilisés, relativement chers et contraignants, car la majorité des gens se déplacent en voiture.

De plus, nous avons dû revoir plusieurs fois notre contrat d’études et adapter entièrement notre plan d’études pour qu’il corresponde aux enseignements effectivement proposés par l’UQAR.

 

Entrée de l’université de Rimouski

Michaël & Loïck

Génie Energétique et Environnement

Double-Diplôme

Canada

Loick2

Le fleuve Saint Laurent gelé

Michaël

Grande église de la ville de Rimouski

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